Tournoi de pêche blanche lac Wallace 2015

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C’est sur un coup de tête que l’équipe de Fishingshack a décidé de se joindre au tournoi de pêche blanche sur le lac Wallace à environ 20 minutes de Coaticook. Nous avons donc publié l’événement et invité nos amis à se joindre à nous en cette belle journée de janvier pour taquiner les quelques espèces qui sont maitres des profondeurs de ce lac.

installation du campement

Dès notre arrivée, j’ai eu la chance, dans le bureau d’enregistrement, de croiser nos amis que nous avions invité sur les différent groupes. Après un peu de « blabla » nous avons chargé les traineaux en route pour la pêche.

Truite brune

Armé d’une carte bathymétrique, nous avons fait notre chemin vers certaines structures qui nous semblaient propices à la capture de truites brunes. Après plusieurs attaques de perchaudes et du à un manque d’attention envers nos brimbales, on ne s’est pas rendu compte tout de suite qu’il y avait un drapeau levé. C’est Bruno qui l’a vu en premier et qui s’est rendu au drapeau pour y sortir notre première truite brune, un beau spécimen de 13.5 pouces.

La truite enregistrée fut la 3eme enregistrée cette journée là. Malheureusement son maigre 0.5 lbs ne pouvait faire compétition à la truite de 2 livres enregistrée plus tôt.

Comme seules les perchaudes voulaient de nos offrandes sur les jiggeuses, j’ai décidé de grossir mon leurre un peu. Une fois mon leurre descendu à 25 pieds, j’ai vu sur le sonar une superbe ligne rouge franche décoller du fond et s’enligner directement sur mon leurre. Quelle ne fut pas ma surprise quand j’ai hissé hors du trou, après un léger combat, un petit meunier!

Meunier

Bruno, de son coté, prospectait des structures un peu plus loin ce qui lui valu plusieurs attaques ainsi qu’une belle truite d’environ 12 pouces.

La journée fut chaude et ensoleillée. Une journée parfaite pour un superbe tournoi. Le seul hic, qui n’est aucunement de la faute des organisateurs, alcool et véhicule ne faisant pas bon ménage, à la fin de la journée l’air pur fut remplacé par les gaz d’échappement des quatre roues, skidoo et multiples véhicules qui circulaient sur le lac.

rodstand

Merci au Club Chasse et Pêche de Coaticook et leurs bénévoles d’avoir organisés cette superbe journée qui fut couronnée par de nombreux prix de présence.

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La malédiction enfin rompue!!

ouananiche memphremagog atlantic salmon

C’est par ce froid lundi 29 décembre que s’est terminée ma saison de pêche 2014 en eau libre en compagnie de Bruno Mayot sur le lac Memphrémagog. Direction la descente de Vale Perkins pour être à l’abri des vents de l’Ouest. La matinée sur le lac a commencé extrêmement lentement. Après une petite touche ratée, les attaques se sont faites rares pour un bon deux heures. Je peux vous confirmer que deux heures à avoir froid sans action pour nous réchauffer c’est difficile sur le moral. Bruno cherchait le poisson et la bonne couleur qui les réveillerait.

ouananiche memphremagog silver tommy corriveau

Après quelques tests de leurres différents on a enfin commencé à avoir des touches de petites ouananiches qui se réveillaient. Rien de très gros mais quand même mieux que rien. L’après-midi se passa beaucoup mieux! Bien que les 3 chaloupes que nous avions croisées sur le lac avaient abandonné et rentraient bredouilles, on a décidé de pousser un peu notre chance pour finalement faire une belle pêche : un total de 15 petites ouananiches, remises à l’eau, entre 39 a 42 cm sont venus attaquer nos leurres.

ouananiche memphremagog tommy corriveau

Ceux qui suivent mon blog depuis plusieurs mois avaient peut-être lu mon billet sur ma malédiction … un but que je m’étais fixé soit de prendre une truite brune dans mon année … ce but qui m’échappait à tous les coups et bien cette malédiction fut enfin rompue grâce au travail ardu de Bruno. Il a travaillé très fort pour trouver des structures propices à la capture de truite brune quand finalement j’ai eu une belle attaque d’une belle truite brune qui fut graciée après ce magnifique combat.

brown-fixed

La noirceur commençant à tomber, nous avons décidé de rentrer au port tranquillement en espérant attraper un autre poisson digne de ce nom avant la fin de la journée. Cette fois-ci ce fut le tour de Bruno d’avoir un peu d’action une belle ouananiche de 3-4 livres est venue attaquer son leurre quelques minutes à peine avant la fin de la journée … le poisson de la dernière chance comme on l’a surnommé!

ouananiche bruno mayot memphrémagog guide

Donc pour une journée difficile 16 ouananiches au bateau et une brune sans compter les quelques poisons échappés je dois dire que les connaissances de Bruno ont encore fait toute une différence si on se comparait aux quelques personnes rentrées bredouilles. La prochaine sortie, si Dame nature le veut bien, ce fera sur la glace.

L’heure de la révolution

oldschool

Suite à une discussion avec des amis sur le groupe Facebook « Les Pêcheurs de Carpe & Esturgeon de Montréal » qui a débuté à propos d’une pétition Américaine pour interdire la pêche à la carpe à l’arc ou arbalète j’ai décidé d’écrire un petit post de chialage sur les réglementations archaïques et les infrastructures dépassées dans le domaine de la pêche sportive du Québec.

Premièrement les infrastructures … on s’entend que déjà en 2014 bientôt 2015 la possibilité de pouvoir acheter son permis de pêche en ligne devrait être disponible … cette année je me suis procuré mon permis de pêche ontarien EN LIGNE. suite à ma transaction j’ai reçu un permis temporaire à imprimer sur papier en attendant par la poste mon permis sur une carte en plastique … pas un simple bout de papier cheap qui se déchire dans le portefeuille mais bien un permis sur une carte.

permis
He haut le permis Ontarien en bas celui du Québec.

 

Certaines autres provinces un peu plus avant-gardistes possédées aussi deux types de permis soient le permis Écologique avec quotas réduit a un cout plus faible ce qui est parfait pour les gens qui ne pêche pas souvent ou ceux qui pratiquent la remise à l’eau comme moi ou le permis standard avec quota un peu plus élevé parfait pour les gens qui mangent leur poissons … à mon avis il est normal que quelqu’un qui exerce une plus grosse pression sur la ressource paie un peu plus (argent qui a mes yeux devrait être réinvestie dans la ressource en ensemencements)

ensemancement
Pour les règlements … la réglementation n’est presque jamais changée à moins qu’une espèce de poisson soit en voie de disparaitre mais je pense qu’il y aurait moyen de faire de la prévention plutôt que d’attendre à la dernière minute.

Une façon simple serait tout simplement de revoir les quotas a la baisse pour chaque espèce car en vrai … qui a besoin de 10 truites ou de 50 perchaudes pour se nourrir par jour et si vous voulez me parler de nourrir votre famille … procurez leur un permis et amenez les avec vous la pêche c’est aussi familial.

Un autre point qui a été abordé dans cette discussion la serait aussi de réglementé les poissons qui sont présentement classé comme « autres espèces » ceci inclut le carpe, les lépisostées osseux, les chevaliers … Ma raison personnelle pour réglementer ceci est justement pour ne pas complètement interdire le bowfishing et permettre aux gens de continuer de pratiquer leur sport même si je ne suis pas d’accord avec celui-ci mais de devoir le respecter sans carnages … les photos de multiple Lépisosté et de dizaines de carpes mortes étaler dans la rue sont beaucoup trop nombreuse je pense que le sport pourrait être pratiqué dans le respect de la ressource.
Tout ceci pourrait être une première étape vers une réforme dans les réglementations de la pêche au Québec tout en respectant nos cours d’eau et leurs ressources.
Il va sans dire qu’il faudrait déjà que notre gouvernement investi dans la faune plutôt que de faire des coupures mais faut pas trop rêver. merci d’avoir pris le temps de lire je vous invite à debatre de façon civiliser dans les commentaires de ma page Facebook Fishingshack.

Arc-en-ciel sur stéroïdes

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Cette semaine, j’ai eu la chance de retourner en Ontario pour pêcher dans les tributaires du lac portant le même nom. Ma dernière expérience dans ces cours d’eau m’avait laissée sur ma faim puisque j’étais revenu bredouille de ma pêche au chinook (Partie 1 et Partie 2). Cette fois-ci, c’était le tour de la Steelhead de se retrouver dans les cours d’eau pour se nourrir des nombreux œufs de saumons ayant frayés dans les semaines passées.

Encore une fois, j’ai accompagné Bruno Mayot alors qu’il guidait mon ami Guillaume pour lui permettre de capturer un magnifique tank argenté qui offrait des combats comme je n’en avais jamais vu. Après une longue route d’environ 6 heures, nous avons atteint le premier cours d’eau. Celui-là, je le connaissais déjà puisque nous avions pêcher au même endroit pour le chinook.  L’eau était si trouble que cela ne nous permettais pas de voir si le poisson était présent. Cependant, après quelques lancés, nous avons eu droit à des petites touches et nous avons pu apercevoir un peu de mouvement en surface, lesquels étaient trop peu nombreux pour que l’on s’acharne à cet endroit.

Nous avons par la suite décidé d’aller passer l’après-midi à explorer un autre cours d’eau. Dans celui-ci, nous avons pu trouver un coin où il y avait quelques Steelhead mais la clarté de l’eau nous a trahis: les poissons étaient partis se cacher sous un amas de branches et ils ne voulaient rien savoir de nos offrandes. La journée me rappelait trop ma sortie au chinook et déjà, en plus de la fatigue, j’avais le moral à terre.

Le soir venu, nous avions donné rendez-vous à Charles et à Guillaume, de Montréal Pêche Blog, qui étaient présents en même temps que nous au restaurant de l’hôtel, question de refaire le plein d’énergie et de discuter du plan de match de la journée suivante puisqu’ils avaient eux aussi rencontré des mêmes difficultés. Les gars nous ont donc parlé d’aller explorer une rivière avec un guide local, Greg Attard. De notre côté, nous avons plutôt choisi de retourner là où le poisson était présent.

Durant notre sommeil réparateur, une forte pluie s’est abattue sur la zone où nous étions, ce qui est en général très bon pour les montaisons de poissons. Donc, le lendemain, nous étions vraiment pleins d’espoir mais l’avant-midi fût terriblement difficile encore une fois sur mon moral.. très peu de poissons visibles et aucune touche..

Nous sommes par la suite allés rejoindre les gars de MPB et Greg mais la rivière semblait difficile pour eux aussi, bien que Greg semblait tirer son épingle du jeu. Sa connaissance e la rivière était incroyable et nous avons pu comprendre facilement qu’il la pêche à chaque année.

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Charles de Montréal pêche blog avec sa petite Steel !

 

Quand l’eau a commencé à s’éclaicir, moi, Bruno et Guillaume sommes retournés encore une fois dans la fosse où le poisson était présent. Miracle! Nous avons commencé à avoir des touches! Une pour Bruno, 2 pour Guillaume et ainsi de suite. Cependant, les poissons se décrochaient à tout coup. Finalement, Guillaume a réussi à connecter avec une belle grosse torpille qui est venue nous faire une parade en surface. Elle était évaluée à environ 9 à 11 livres mais après 20 secondes de combat, elle a fait un beau sprint, ce qui a cassé le bas de ligne.

J’ai donc préféré changer de leurre, étant donné que les sacs d’oeufs ne me donnaient rien de bon. J’ai opté pour un leurre en plastique souple qui, après 2 lancers, m’a valut enfin une connexion avec une belle Steelhead d’environ 5 livres. Elle fut la seule qui s’est laissée sortir de l’eau pendant ces 2 jours de pêche mais nous étions tous très contents de l’avoir. Cela nous a évité de revenir bredouille!

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Merci à Bruno Mayot pour ses conseils de même que pour son équipement pour la pêche au centerpin qui m’a permis de capturer ma toute première Arc-en-ciel de souche Steelhead.

Sur le chemin du retour, nous avons rejoins les gars de MPB au Mc Do pour nous raconter notre journée. Charles a eu de la chance cette journée-là de prendre aussi une petite Steelhead. Voici donc un lien vers leur récit.

Miser gros pour les trophées (partie 2)

Suite de « Miser gros pour les trophés Partie.1 »

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mid-left_2Même si le soleil ne s’était pas encore levé le dimanche matin, les quelques heures de sommeil avaient fait énormément de bien. C’était maintenant l’heure de retourner prendre notre revanche sur le poisson. Nous sommes alors retourner au dernier endroit que nous avions quitté la veille car c’était à cet endroit précis que les poissons se trouvaient la journée d’avant. Une fois sur place, il y avait très peu des gens et beaucoup moins d’activité en surface, ce qui nous indiquait que la concentration de poisson c’était déplacée. Nous avons décidé de remonter la rivière pour trouver des fosses plus propices. C’est à ce moment que William, un ami de Bruno, est arrivé pour filmer les chinooks pour son projet « The Forgotten Salmon« .

Nous avons par la suite entamé une marche de plus ou moins 2 heures. Nous n’avons croisé que quelques poissons mais aucune bonne concentration. Quand nous avons enfin touché le « jackpot », c’était une belle fosse avec au moins 30 saumons bien cordés à l’ombre et ce, sans compter tous les autres qui montaient le courant pour venir rejoindre leurs amis. C’est dans cette fosse que ça allait se passer. Après plusieurs attaques et ferrages manqués, quelques combats de poissons décrochés, Bruno a enfin réussi à connecter avec un beau petit chinook mâle. Après un beau combat, nous avons pris le temps de le photographier avant de le retourner à l’eau pour qu’il puisse rejoindre ses amis. Quelques lancés plus tard, la fosse commençait à se remplir de pêcheurs. Il était temps d’aller faire notre « check-out » à l’hôtel alors nous avons décidé de prendre une pause pour aller vider la chambre, se laver et manger.

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La mission de capturer un saumon étant accomplie grâce à Bruno, nous sommes allés explorer d’autres rivières qui pouvaient être susceptibles de contenir des poissons Malheureusement, ces rivières ressemblaient beaucoup à notre première journée c’est-à-dire des poissons dispersés. Après plus de deux heures de marche en rivière, nous sommes retournés à l’embouchure du lac. Simon voulait aller faire quelques lancés dans le lac tandis que moi et Bruno nous avons continué à pêcher dans l’embouchure de la rivière.

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Dans cette partie de la rivière, nous avons eu quelques petites attaques. Avec un peu de persévérance, j’ai enfin réussi à capturer le coupable. Un beau petit gobie bien joufflu qui s’amusait à voler nos appâts.

En résumé,  la fin de semaine fût extraordinaire bien que les poissons étaient très peu nombreux. Les quelques combats qu’ils nous ont offerts m’ont impressionné. La traque de ces géants est une pêche qui rappelle la pêche de ruisseau mais avec une énorme récompense quand on réussit enfin à avoir une touche. Il est certain que je vais revenir pour le chinook l’année prochaine mais je me donne pour but de revenir pour la steelhead dans les prochains mois. Encore une fois, j’en profite pour remercier Bruno et Simon qui ont été des super partenaires de pêche et pour m’avoir fait découvrir leur cours d’eau pour le saumon.

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** A special thanks to William Galen Brown for sending me some pictures. And please, go support his project and help him realize his documentary. // Un gros merci spécial à William Galen Brown et son équipe pour m’avoir envoyé des photos. Allez supporter son projet et l’aider à réaliser son documentaire.

Miser gros pour les trophées (partie 1)

Salmon fishing ontario sunrise

En fin de semaine, j’ai eu la chance de réaliser un de mes rêves de pêcheur : aller pêcher le saumon chinook. J’étais loin de me douter de la taille colossale de ces salmonidés qui nous offrent un spectacle incroyable et une démonstration de force hors du commun.

Tommy Corriveau saumon chinook ontatioLe voyage s’est un peu décidé à la dernière minute en jasant avec Bruno (Lomechuse). Après avoir eu une confirmation timide de la présence d’une montaison, nous avons décidé d’aller en Ontario la semaine passée pour essayer le chinook. Bruno en a donc parlé à Simon qui, bien sûr, n’a pas pu résister à l’offre. Après s’être assuré de ne rien oublier, Bruno et moi avons préparé notre départ pour rejoindre Simon le vendredi soir à Gatineau dans le but d’aller dormir quelques heures pour ensuite se déplacer aux petites heures du matin en direction de Toronto et les rivières qui l’entoure.

La nuit fût beaucoup trop courte et le trajet en auto trop long mais dès notre arrivée dans la première rivière, nous avons été accueillis par un superbe poisson en train de remonter le courant. Moi qui n’avait jamais vu de chinook sauf sur des photos, j’ai été extrêmement surpris de leurs tailles. Nous avons donc enfilé nos waders, préparé nos cannes et commencé à prospecter la rivière. La journée fût quand même difficile pour moi car je n’avais jamais pêcher au Center Pin, une technique qui semble extrêmement simple de base mais qui est, en fait, parsemée de petits détails qui font toute la différence entre une attaque ou pas. J’ai pris quelques minutes pour être capable de lancer même si la rivière n’était pas très large et que je n’avais pas besoin de distance. La pratique était la bienvenue dans mon cas. Pendant ce temps, Bruno et Simon sont descendus à une fosse qui contenait 4 poissons facilement repérables avec les lunettes polarisées. Après une attaque manquée et un décrochage rapide, nous avons decidé de descendre les prochaines fosses.

Les saumons semblaient très peu nombreux dans le secteur. Donc, après une demi-journée de marche, nous sommes allés nous reposer et faire notre « check-in » à l’hôtel. Mis à part les quelques bébés steelhead, nous sommes revenus bredouilles avec seulement un poisson décroché au ferrage pour Bruno. On peut dire que déjà on commençait à avoir peur de rien prendre.

bébé steelhead des affluents du lac ontario

Après une petite pause à l’hôtel, nous avons décidé de nous attaquer à une autre rivière. Quand nous sommes arrivés sur place, il y avait plusieurs pêcheurs ce qui, en général, est signe de présence de poissons. On s’est alors installés à l’embouchure de ce cours d’eau entre quelques personnes et nous avons commencé à pêcher. Déjà, après avoir vu un peu d’action en surface, nous avons commencé à obtenir quelques touches mais rien n’y faisait au niveau des ferrages, le poisson faisait son difficile.

Au final, la première journée fût extrêmement difficile mais quand même extrêmement plaisante. Elle m’a permis d’apprendre de nouvelles techniques de pêche et de contempler le magnifique spectacle que donnent ces poissons … Le manque de sommeil se faisant sentir, nous sommes allés manger et nous reposer en vue de la prochaine journée qui allait nous réserver de magnifiques surprises.

À suivre …

Bruno Mayot guide de pêche centerpin

Comment garnir son coffre à mouches

Attention moucheurs, ne croyez pas que je vous ai oubliés avec mon dernier article sur la « Mystery Tackle Box ». Il existe un service similaire pour vous aussi, bien qu’un un peu plus dispendieux car des frais de 5$ s’appliquent pour la livraison au Canada. On peut par contre s’en tirer avec une belle sélection de mouches pour un prix ridicule.

Voici donc les mouches que j’ai eues dans ma boîte de « Post Fly Box » suite à l’utilisation de mon code promo pour une boîte à 5$ (+5$ de frais de transport) … Désolé pour les photos, je n’ai pas encore d’étau à mouches. J’ai mis mon coupe-fil à côté pour donner une idée de la grosseur des mouches. Comme pour mon dernier article, je vais fournir le code promo à la fin.

Tout d’abord, il faut comprendre que le service offre le choix de mouches pour achigans/carnaciers ou aux salmonidés. Pour ma part,  j’ai choisi celles pour les salmonidés puisque c’est en général ce que je pêche quand je sors ma moucheuse.

Crane Fly – no.10 – Grosse mouche sèche – Mouche sèche avec de longues pattes de base aux couleurs très naturelles.

Crane Fly

Czech Mate – no.14 – Nymphe – Nymphe qui est vraiment belle mais qui va s’ajouter à ma sélection des nymphes trop petites dans mon coffre.

Czech Mate

Eastern Green Drake – no.10 – Sèche Classique – Un classique qui devrait se retrouver en plusieurs couleurs dans le coffre de tout moucheur de salmonidés.

Eastern Green Drake

Foam Park Hopper – no.10 – Terrestre – Insecte de mousse comme bien des mouches. J’ai trouvé la qualité de celui-ci un peu médiocre : elle est croche et mal montée (mon seul reproche de toute cette boîte).

Foam Park Hopper  Foam Park Hopper

Green Weenie – no.12 – Terrestre – Simplement un petit vers ou chenille très voyante qui sera parfaite pour faire glisser sous les branches d’arbre qui longent les berges.

Green Weenie

Green Headlight Caddis – no.14 – Émergente – Belle émergente parachute. On peut couper la queue si elle est trop longue pour refléter les insectes de nos cours d’eau qui sont péchés.

Green Headlight Caddis

March Brown – no.14 – Sèche – Un classique. La March Brown: je la possédais déjà mais seulement en version blanche ou très pâle.

March Brown

Conehead Bugger – no.6 – Wooly Bugger – Une couleur de Wooly Bugger que je n’avais pas encore et la tête de métal sera bien pratique pour les courants plus forts.

Conehead Bugger

PMD Bunny – no.16 – Petite BWO (Blue Winged Olive) Sèche – Sans aucun doute la plus petite mouche dans mon coffre. C’est un excellent ajout car il semble que les truites soient plus sélectives et sautent sur des proies vraiment petites.

PMD Bunny

Rycophila Larva – no.12 – Nymphe – Les mouches vertes étaient à l’honneur dans ma boîte. Celle-ci a de longs poils qui peuvent être coupés à la longueur désirée afin de représenter les pattes des insectes des cours d’eau.

Rycophila Larva

Royal Stimulator – no.14 – Sèche Classique – Un pattern de mouche que je n’avais pas encore essayé. Avec ces couleurs vives, je suis persuadé que ça sera excellent par une journée ensoleillée.

Royal Stimulator

Tan Spotlight Caddis – no.14 – Émergente parachute aux couleurs très naturelles dont on peut couper la queue pour refléter les insectes de nos cours d’eau.

Tan Spotlight Caddis

Tunghead Beadcrust – no.16 – Nymphe – Micro nymphe dodue qui pourra déjouer les beaux salmonidés difficiles et collés au fond par temps chaud.

Tunghead Beadcrust

Bluegill Blaster – no.10 – Mouche à « panfish » Terrestre – Sans aucun doute ma mouche la plus étrange : elle est très large et il est dit qu’elle est excellente pour la pêche au crapets et petits achigans.

Bluegill Blaster

Toutes ces mouches sont armées d’ardillons. Il est donc important de les écraser ou de les limer si on pense faire du catch and release. J’étais vraiment content de la variété de mouches incluses dans la boite et de la qualité des matériaux utilisés.

Le coupon rabais pour obtenir sa première boite à 5$ est « 5DOLLAFLYBOX« . Je crois sincèrement que même avec les frais de transport de 5-6 dollars, la boîte vaut la peine d’être achetée. Je vais sans aucun doute me procurer la version achigans/carnassiers dans les prochains mois.

http://postflybox.com/

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