Bonjour chers amispêcheurs, je me nomme Alex et j’ai 16 ans. Étant mordu de la pêche depuis l’âge de 5 ans, j’ai enfin la chance de vous partager mes aventures et mes connaissances. Habitant la Gaspésie j’ai la chance à chaque année de taquiner le bar rayé. J’en ai même plus d’une centaine à mon actif cette saison. Je fais beaucoup de pêche en eau salée mais malgré tout, chaque jour je suis sur le bord d’une rivière ou bien d’un ruisseau pour tenter ma chance avec la mouchetée. Bref, je pêche à peu près tout ce qui peut me procurer une touche et un combat mémorable. Vous en apprendrezd’avantage sur moi et sur mes aventures dans mes publications.
C’est en écoutant des émissions portant sur la pêche du bar rayé, qui se passait à Cape Cod,auxÉtats-Unis, que j’aiattrapé la piqure…Lorsque j’ai appris l’an passé l’ouverture d’une saison de pêche au bar rayé dans mon petit coin de pays qui est la Gaspésie,j’aisortimon spinning rod et je suis partim’amuser sur la plage en avant de chez moi.
Quelques lancers avec un jig et aucunes morsures…Plutôt découragé, je change pour un crankbait couleur mackerel. Au premier lancé, une touche mais un mauvais ferrage. Un autre lancer et c’est là que le plaisir s’installe: je suis en plein combat avec mon premier bar!
C’est ce qui a fait en sorte que je suis maintenant un adepte de la pêche au bar. Cette année était ma deuxième saison de pêche de ce monstre argenté. C’est après avoir appris la technique du bucktail jigs et du long casting que mes résultats sont devenus fulgurantsCetteannéej’aicombattu plus d’une centaine de bars, sans oublier quelques-uns qui ontsu être plus futé que moi et qui ont parvenu à se décrocher. Après plusieurs prises,j’ai eu l’idéesortir ma canne à mouche, car je voulaisdes combats encore plus palpitants, j’ai réussi à capturer de belles prise sur des « deceivers » et des « clouser minnows » de couleur chartreuse.
Une chose est sûre, si vous voulez vous amuser c’est en Gaspésie que ça se passe. Les bars et les saumons il n’y a rien de mieux!
Suite à une discussion avec des amis sur le groupe Facebook « LesPêcheurs de Carpe & Esturgeon de Montréal » qui a débuté à propos d’une pétition Américaine pour interdire la pêche à la carpe à l’arc ou arbalète j’ai décidé d’écrire un petit post de chialage sur les réglementations archaïques et les infrastructures dépassées dans le domaine de la pêche sportive du Québec.
Premièrement les infrastructures … on s’entend que déjà en 2014 bientôt 2015 la possibilité de pouvoir acheter son permis de pêche en ligne devrait être disponible … cette année je me suis procuré mon permis de pêche ontarien EN LIGNE. suite à ma transaction j’ai reçu un permis temporaire à imprimer sur papier en attendant par la poste mon permis sur une carte en plastique … pas un simple bout de papier cheap qui se déchire dans le portefeuille mais bien un permis sur une carte.
He haut le permis Ontarien en bas celui du Québec.
Certaines autres provinces un peu plus avant-gardistes possédées aussi deux types de permis soient le permis Écologique avec quotas réduit a un cout plus faible ce qui est parfait pour les gens qui ne pêche pas souvent ou ceux qui pratiquent la remise à l’eau comme moi ou le permis standardavec quota un peu plus élevé parfait pour les gens qui mangent leur poissons … à mon avis il est normal que quelqu’un qui exerce une plus grosse pression sur la ressource paie un peu plus (argent qui a mes yeux devrait êtreréinvestie dans la ressource en ensemencements)
Pour les règlements … la réglementation n’est presque jamais changée à moins qu’une espèce de poisson soit en voie de disparaitre mais je pense qu’il y aurait moyen de faire de la prévention plutôt que d’attendre à la dernière minute.
Une façon simple serait tout simplement de revoir les quotas a la baisse pour chaque espèce car en vrai … qui a besoin de 10 truites ou de 50 perchaudes pour se nourrir par jour et si vous voulez me parler de nourrir votre famille … procurez leur un permis et amenez les avec vous la pêche c’est aussi familial.
Un autre point qui a été abordé dans cette discussion la serait aussi de réglementé les poissons qui sont présentement classé comme « autres espèces » ceci inclutle carpe, les lépisostées osseux, les chevaliers … Ma raison personnelle pour réglementer ceci est justement pour ne pas complètement interdire le bowfishing et permettre aux gens de continuer de pratiquer leur sport même si je ne suis pas d’accord avec celui-ci mais de devoir le respecter sans carnages … les photos de multiple Lépisosté et de dizaines de carpes mortes étaler dans la rue sont beaucoup trop nombreuse je pense que le sport pourrait êtrepratiqué dans le respect de la ressource.
Tout ceci pourrait être une première étape vers une réforme dans les réglementations de la pêche au Québec tout en respectant nos cours d’eau et leurs ressources.
Il va sans dire qu’il faudrait déjà que notre gouvernement investi dans la faune plutôt que de faire des coupures mais faut pas trop rêver. merci d’avoir pris le temps de lire je vous invite àdebatre de façon civiliser dans les commentaires de ma page FacebookFishingshack.
Cette semaine, j’ai eu la chance de retourner en Ontario pour pêcher dans les tributaires du lac portant le même nom. Ma dernière expérience dans ces cours d’eau m’avait laissée sur ma faim puisque j’étais revenu bredouille de ma pêche au chinook (Partie 1 et Partie 2). Cette fois-ci, c’était le tour de la Steelhead de se retrouver dans les cours d’eau pour se nourrir des nombreux œufs de saumons ayant frayés dans les semaines passées.
Encore une fois, j’ai accompagné Bruno Mayot alors qu’il guidait mon ami Guillaume pour lui permettre de capturer un magnifique tank argenté qui offrait des combats comme je n’en avais jamais vu. Après une longue route d’environ 6 heures, nous avons atteint le premier cours d’eau. Celui-là, je le connaissais déjà puisque nous avions pêcher au même endroit pour le chinook. L’eau était si trouble que cela ne nous permettais pas de voir si le poisson était présent. Cependant, après quelques lancés, nous avons eu droit à des petites touches et nous avons pu apercevoir un peu de mouvement en surface, lesquels étaient trop peu nombreux pour que l’on s’acharne à cet endroit.
Nous avons par la suite décidé d’aller passer l’après-midi à explorer un autre cours d’eau. Dans celui-ci, nous avons pu trouver un coin où il y avait quelques Steelhead mais la clarté de l’eau nous a trahis:les poissons étaient partis se cacher sous un amas de branches et ils ne voulaient rien savoir de nos offrandes. La journée me rappelait trop ma sortie au chinook et déjà, en plus de la fatigue, j’avais le moral à terre.
Le soir venu, nous avions donné rendez-vous à Charles et à Guillaume, de Montréal Pêche Blog, qui étaient présents en même temps que nous au restaurant de l’hôtel, question de refaire le plein d’énergie et de discuter du plan de match de la journée suivante puisqu’ils avaient eux aussi rencontré des mêmes difficultés. Les gars nous ont donc parlé d’aller explorer une rivière avec un guide local, Greg Attard. De notre côté, nous avons plutôt choisi de retourner là où le poisson était présent.
Durant notre sommeil réparateur, une forte pluie s’est abattue sur la zone où nous étions, ce qui est en général très bon pour les montaisons de poissons. Donc, le lendemain, nous étions vraiment pleins d’espoir mais l’avant-midi fût terriblement difficile encore une fois sur mon moral.. très peu de poissons visibles et aucune touche..
Nous sommes par la suite allés rejoindre les gars de MPB et Greg mais la rivière semblait difficile pour eux aussi, bien que Greg semblait tirer son épingle du jeu. Sa connaissance e la rivière était incroyable et nous avons pu comprendre facilement qu’il la pêche à chaque année.
Charles de Montréal pêche blog avec sa petite Steel !
Quand l’eau a commencé à s’éclaicir, moi, Bruno et Guillaume sommes retournés encore une fois dans la fosse où le poisson était présent. Miracle! Nous avons commencé à avoir des touches! Une pour Bruno, 2 pour Guillaume et ainsi de suite. Cependant, les poissons se décrochaient à tout coup. Finalement, Guillaume a réussi à connecter avec une belle grosse torpille qui est venue nous faire une parade en surface. Elle était évaluée à environ 9 à 11 livres mais après 20 secondes de combat, elle a fait un beau sprint, ce qui a cassé le bas de ligne.
J’ai donc préféré changer de leurre, étant donné que les sacs d’oeufs ne me donnaient rien de bon. J’ai opté pour un leurre en plastique souple qui, après 2 lancers, m’a valut enfin une connexion avec une belle Steelhead d’environ 5 livres. Elle fut la seule qui s’est laissée sortir de l’eau pendant ces 2 jours de pêche mais nous étions tous très contents de l’avoir. Cela nous a évité de revenir bredouille!
Sur le chemin du retour, nous avons rejoins les gars de MPB au Mc Do pour nous raconter notre journée. Charles a eu de la chance cette journée-là de prendre aussi une petite Steelhead. Voici donc un lien vers leur récit.
Ma première steelhead à vie Merci encore Bruno et je recommande à tous ceux qui veulent avoir la chance de prendre ce magnifique poisson sur l’équipement adéquat te faire affaire avec ton service de guide !
Même si le soleil ne s’était pas encore levé le dimanche matin, les quelques heures de sommeil avaient fait énormément de bien. C’était maintenant l’heure de retourner prendre notre revanche sur le poisson. Nous sommes alors retourner au dernier endroit que nous avions quitté la veille car c’était à cet endroit précis que les poissons se trouvaient la journée d’avant. Une fois sur place, il y avait très peu des gens et beaucoup moins d’activité en surface, ce qui nous indiquait que la concentration de poisson c’était déplacée. Nous avons décidé de remonter la rivière pour trouver des fosses plus propices. C’est à ce moment que William, un ami de Bruno, est arrivé pour filmer les chinooks pour son projet « The Forgotten Salmon« .
Nous avons par la suite entamé une marche de plus ou moins 2 heures. Nous n’avons croisé que quelques poissons mais aucune bonne concentration. Quand nous avons enfin touché le « jackpot », c’était une belle fosse avec au moins 30 saumons bien cordés à l’ombre et ce, sans compter tous les autres qui montaient le courant pour venir rejoindre leurs amis. C’est dans cette fosse que ça allait se passer. Après plusieurs attaques et ferrages manqués, quelques combats de poissons décrochés, Bruno a enfin réussi à connecter avec un beau petit chinook mâle. Après un beau combat, nous avons pris le temps de le photographier avant de le retourner à l’eau pour qu’il puisse rejoindre ses amis. Quelques lancés plus tard, la fosse commençaità se remplir de pêcheurs. Il était temps d’aller faire notre « check-out »à l’hôtel alors nous avons décidé de prendre une pause pour aller vider la chambre, se laver et manger.
La mission de capturer un saumon étant accomplie grâce à Bruno, nous sommes allés explorer d’autres rivières qui pouvaient êtresusceptibles de contenir des poissons Malheureusement, ces rivières ressemblaient beaucoup à notre première journée c’est-à-dire des poissons dispersés. Après plus de deux heures de marche en rivière, nous sommes retournésà l’embouchure du lac. Simon voulait aller faire quelques lancés dans le lac tandis que moi et Bruno nous avons continué à pêcher dans l’embouchure de la rivière.
Dans cette partie de la rivière, nous avons eu quelques petites attaques. Avec un peu de persévérance, j’ai enfin réussi à capturer le coupable. Un beau petit gobie bien joufflu qui s’amusaità voler nos appâts.
En résumé, la fin de semaine fût extraordinaire bien que les poissons étaienttrès peu nombreux. Les quelques combats qu’ils nous ont offerts m’ontimpressionné. La traque de ces géants est une pêche qui rappelle la pêche de ruisseau mais avec une énorme récompense quand on réussit enfin à avoir une touche. Il est certain que je vais revenir pour le chinook l’année prochaine mais je me donne pour but de revenir pour la steelhead dans les prochains mois. Encore une fois, j’en profite pour remercier Bruno et Simon qui ont été des super partenaires de pêche et pour m’avoir fait découvrir leur cours d’eau pour le saumon.
En fin de semaine, j’ai eu la chance de réaliser un de mes rêves de pêcheur : aller pêcher le saumon chinook. J’étais loin de me douter de la taille colossale de ces salmonidés qui nous offrent un spectacle incroyable et une démonstration de force hors du commun.
Le voyage s’est un peu décidé à la dernière minute en jasant avec Bruno (Lomechuse). Après avoir eu une confirmation timide de la présence d’une montaison, nous avons décidé d’aller en Ontario la semaine passée pour essayer le chinook. Bruno en a donc parlé à Simon qui, bien sûr, n’a pas pu résister à l’offre. Après s’être assuré de ne rien oublier, Bruno et moi avons préparé notre départ pour rejoindre Simon le vendredi soir à Gatineau dans le but d’aller dormir quelques heures pour ensuite se déplacer aux petites heures du matin en direction de Toronto et les rivières qui l’entoure.
La nuit fût beaucoup trop courte et le trajet en auto trop long mais dès notre arrivée dans la première rivière, nous avons été accueillis par un superbe poisson en train de remonter le courant. Moi qui n’avait jamais vu de chinook sauf sur des photos, j’ai été extrêmement surpris de leurs tailles. Nous avons donc enfilé nos waders, préparé nos cannes et commencé à prospecter la rivière. La journée fût quand même difficile pour moi car je n’avais jamais pêcher au Center Pin, une technique qui semble extrêmement simple de base mais qui est, en fait, parsemée de petits détails qui font toute la différence entre une attaque ou pas. J’ai pris quelques minutes pour être capable de lancer même si la rivière n’était pas très large et que je n’avais pas besoin de distance. La pratique était la bienvenue dans mon cas. Pendant ce temps, Bruno et Simon sont descendus à une fosse qui contenait 4 poissons facilement repérables avec les lunettes polarisées. Après une attaque manquée et un décrochage rapide, nous avons decidé de descendre les prochaines fosses.
Les saumons semblaient très peu nombreux dans le secteur. Donc, après une demi-journée de marche, nous sommes allés nous reposer et faire notre « check-in » à l’hôtel. Mis à part les quelques bébés steelhead, nous sommes revenus bredouilles avec seulement un poisson décroché au ferrage pour Bruno. On peut dire que déjà on commençait à avoir peur de rien prendre.
Après une petite pause à l’hôtel, nous avons décidé de nous attaquer à une autre rivière. Quand nous sommes arrivés sur place, il y avait plusieurs pêcheurs ce qui, en général, est signe de présence de poissons. On s’est alors installés à l’embouchure de ce cours d’eau entre quelques personnes et nous avons commencé à pêcher. Déjà, après avoir vu un peu d’action en surface, nous avons commencé à obtenir quelques touches mais rien n’y faisait au niveau des ferrages, le poisson faisait son difficile.
Au final, la première journée fût extrêmement difficile mais quand même extrêmement plaisante. Elle m’a permis d’apprendre de nouvelles techniques de pêche et de contempler le magnifique spectacle que donnent ces poissons … Le manque de sommeil se faisant sentir, nous sommes allés manger et nous reposer en vue de la prochaine journée qui allait nous réserver de magnifiques surprises.
Après le premier ruisseau, qui était magnifique, nous avions un total de 9 ombles dans le panier, ce qui nous donnait droit à 11 mouchetées gardées pour ce deuxième coin de paradis.
Ce ruisseau est très connu et surtout très pêché dans une autre section qui est plus accessible. Il nous a quand même réservé de magnifiques captures. Je n’avais jamais pêché dans cette partie du ruisseau, mais je dois dire que c’était sans aucun doute la plus belle. Cette section est très peu pêchée et ça paraissait par la qualité de la pêche.Brunom’expliquait que la pêche y était encore meilleure il y quelques années. Il me parlait des belles truites brunes trophées qu’il a eu la chance de capturer à cet endroit.
La pêche sur ce plan d’eau a été beaucoup plus facile, bien que le ruisseau est plus petit et que plusieurs branches rendent les lancés plus difficiles. Il n’y avait presque pas de ménés, juste de la belle truite. Après une marche à l’ombre en forêt pour attendre les rapides et les belles chutes, plusieurs poissons sont allés au panier et quelques-unes, plus petites, ont été graciées. Résultat : 10 mouchetées de 7 à 14 pouces (dans le panier), 10 graciées et pour finir, une belle petite surprise, je suis resté pris dans une fosse que je voulais essayer (encore une fois ma malédiction face à ce poisson a frappée). Bruno a donc lancé dans la fosse, car je ne voulais pas m’avancer puisque j’essayais de me déprendre et que je ne voulais pas effrayer les truites. Il a pris une belle petite brune!
En résumé, la pêche a été bonne et nous avons eu beaucoup de plaisir Bruno et moi. Ça faisait longtemps que j’avais pêché en ruisseau et mes lancés laissaient à désirer. Ça ne m’a toutefois pas empêcher de prendre quelques belles truites. Merci à Bruno pour la belle journée.
C’est par un matin chaud et humide que Bruno et moi avons décidé de nous lancer à la conquête des petites truites de ruisseau de l’Estrie. Dans notre mire : deux ruisseaux que Bruno connaissait très bien, dont un dans lequel je pêchais depuis plus de 20ans avec mon père, mais dans un secteur différent. Voici donc mon article, en deux parties, sur notre sortie de pêche.
Déjà, lorsque nous sommes arrivés au premier ruisseau, la chaleur s’est fait sentir. En plus, les truites sont rares dans la première partie, surement déjà pêchées par d’autre. Cependant, plus nous nous enfonçons dans la forêt, plus les paysages offrent des refuges pour plusieurs petites truites de 7 à 10 pouces.
Il y avait cependant quelques défis de taille afin de réussir à aller chercher nos petites colorées. Nous devions premièrement trouver une fosse assez profonde, car à ce temps-ci de l’année, le niveau de l’eau est très bas. Ensuite, nous devions réussir à passer au travers les bancs de ménés qui infestaient le ruisseau comme des petits piranhas pour finalement atteindre le fond des fosses et espérer une belle attaque de mouchetée.
Bruno m’a donc amené jusqu’à un flanc de roches où se trouvaient de magnifiques chutes et rapides. Tout en escaladant, nous avons pêché dans les différentes fosses. Dans ce premier ruisseau, plusieurs petites truites ont été graciées et un total de 9 blessées ont été gardées. Nous avons même eu droit à la visite d’une petite tortue serpentine qui se faisait griller sur une roche.